LA FILLE DE L’OMBRE - Murat Tuncel - Varlık Yayınları from GölgeKız Book
Je tenais toujours sa main dans ma paume lorsque’elle sépara ses regards du point où elle regardait depuis des heures. Ça faisait longtemps qu’elle ne regardait ni à mon visage ni elle laissait ma main. Sa main était froide mais j’ai senti que quelque chose de ses bouts de doigts coulait vers mon coeur. Lorsque cette sensation folle se mélangea à mon sang, j’ai commencé à caresser ses bouts de doigts. D’une part je caressais ses bouts de doigts, d’autre part je regardais son visage. Son visage n’était point changé. Ce visage frais était toujours le même. Les années passantes ne lui avaient rien emportées. Seulement ses regards étaient devenus un peu terne. Avec une sensation irrésisitible j’ai rapproché sa main que je tenais dans ma paume vers mes lèvres. Juste au moment où j’allais toucher mes lèvres à sa peau, j’ai pensé que sa chair allait se coller sur mes lèvres. J’ai repoussé rapidement sa main que j’avais rapproché à mes lèvres. Mais je n’ai pas laissé sa main. Je savais qu’une fois laissée, je ne pourrais pas retenir sa main. Quand mes pensées oscillaient ainsi, elle a mû ses pour la première fois, qui restaient sans bouger depuis des heures. “As-tu aimé la maison?” Sans laisser sa main j’ai regardé aux raisins marins dans le jardin. Ils semblaient pourris mais aucun d’eux n’avait quitté sa branche. Peut-être pour tomber par terre ils attendaient notre passage. Quand en me tournant j’ai regardé au salon assez grand de la maison à deux étages, j’ai remarqué qu’elle s’était encore un peu plus rapprochée de moi. Sa main qui était froide tout à l’heure se chauffait aussi. “As-tu aimé la maison?” demanda-t-elle pour la deuxième fois. “C’est beau” dis-je seulement. Lorsque nos regards croisèrent, il y avait un sourire sur ses lèvres que je ne comprenais pas le sens. Un moment j’ai cru qu’elle allait rire aux éclats. En attandant j’étais rempli d’un émoi. Si elle riait aux éclats, ça serait de nouveau une bougie toute blanche, j’ai pensé. Mais le rire étalé sur ses lèvres, aussitôt se perda parmi ses dents. Et encore une fois ses regards, restèrent figés au point où elle regardait avant de la tenir par sa main. “DONC C’EST FINI” je me disais que, ses doigts dans ma paume bougèrent hystériquement. Après tant d’années mon coeur aurait dû être ravagé par la passion mais au lieu de ça j’ai voulu éclater de rire. Mais j’ai résisté et je n’ai pas ri. Parce que dès qu’elle entendrait ma voix je savais que la magie serait perdue et que ça casserait en morceaux telle une maison de verre. Moi quand je pinçais les lèvres pour ne pas faire du bruit, tout d’un coup elle s’est mise debout. Elle a commencé à marcher vers les escaliers comme si elle n’était plus partie de la maison. A peine elle avait avancé deux pas qu’elle s’est retournée en arrière, comme si un mort appelle son âme, “Allons y visitons la maison” me dit-elle et en tournant elle a marché jusqu’aux escaliers au devant du salon. Si je ne la suis pas son bras se séparant de son épaule sa main va rester dans ma main, pensai-je. Avec cette peur là, je me suis pressé de le suivre. En avançant dans l’obscurité du salon, ma peur grandissait. Mais elle, comme des années auparavant, à notre premier rencontre elle marchait gaiement en bondissant. En marchant parmi les meubles irréguliers et pourris*, nous avons traversé le salon long d’un bout à l’autre. A peine nous nous trouvions au troisième pas des escaliers menant au deuxième étage qu’en se retournant elle a commencé à descendre les escaliers qu’on montait à toute vitesse. En descendant, elle laissa aussi ma main. Moi en croyant qu’elle jouait un nouvel tour j’ai commencé à descendre les escaliers derrière lui. En remarquant que je la suivais, elle s’est arrêtée. En tournant sa tête légèrement et en regardant par le dessus de son épaule vers moi: “Ne viens pas, reste sur les escaliers” me dit-elle. Je me suis arrété sur la dernière marche des escaliers. Lorsqu’elle marchait, j’ai suivi le mouvement de ses bassins qui semblaient d’être empruntés d’un autre mort ou bien qui avait l’air d’être collés par les autres à sa taille fine qui glissait en bas des ses larges épaules. Elle avait fait quelques pas qu’elle a commencé à courir. Elle s’est arrêtée devant une porte s’ouvrant au salon juste en face les escaliers. Elle s’est retournée. D’abord elle regarda au jardin depuis la fenêtre qu’elle avait regardé dehors tout à l’heure. En voyant que je me tenais debout sur les escaliers sans bouger, en mettant son doigt sur ses lèvres, elle a fait signe de “tais-toiii”. Et après avoir tourné vers le bas le bras de la porte de la cuisine devant laquelle elle se tenait elle poussa vite la porte jusqu’en arrière. Dès que la porte était ouverte elle s’est plongée dans la cuisine qui ressemblait à une obscurité sans fin. J’ai sursauté quand la porte se ferma en se heurtant contre le mur d’en face. On a entendu un bruit d’écroulement d’une grande chaudière. Le couvercle de la marmite qui s’enroulait est aussi tombée par terre avec un grand bruit en se heurtant contre un objet métallique. Du bruit qu’on a entendu j’ai compris qu’il avait tombé sur une chose molle. Je voulais y rentrer en courant et je voulais savoir ce qui se passait à l’intérieur, mais “ne viens pas” m’avait-elle dit. Je ne savais pas si j’avais peur de la perdre aussitôt après que je l’avais trouvée ou bien si j’avais peur qu’elle ne m’emmène pas avec elle et je me tenais sur la dernière marche de l’escalier sans me bouger. En ouvrant la porte jusqu’en arrière qu’elle était entrée, elle s’est retournée de nouveau au salon avec quelque chose qu’elle balançait dans sa main. Tout d’abord je n’ai pas compris qu’est-ce qu’elle tenait dans sa main. Quand elle s’est approchée un peu j’ai compris que c’était un souris. J’ai commencé à me trembler par peur. J’ai pensé de monter les escaliers d’une seule haleine et en sautant de la première fenêtre que j’allais rencontrer j’ai voulu m’évader de cette maison. Mais je sentais une lourdeur, je n’ai pas pu bouger de là où je me trouvais. En avançant encore quelques pas elle a jeté vers moi le souris qu’elle balançait par la queue. J’ai failli de m’évanouir, en cachant mon visage sous mes mains, je me suis accroupi là où j’étais. Le souris qui est passé sur ma tête presque touchant mes cheveux, en se heurtant contre la balustrade des escaliers il est tombé sur le plancher en bois. Je n’avais même pas le courage de lui regarder. Elle est venue à côté de moi. Tout comme pour me donner le courage elle glissa ses doigts parmi mes cheveux. J’ai retiré mes mains de mon visage. Je lui ai regardé dans les yeux. Elle, sans se soucier en montrant le souris tombé par terre, “Il était dans la grand marmite. Qui sait depuis combien de temps?” dit-elle. Seulement je regardais à son visage. A cause du tintement de mes oreilles je ne pouvais comprendre ce qu’elle disait qu’avec la peine. Comme si les mots et son haleine se perdaient en se fondant dans sa bouche et parmi ses dents. En tendant sa main avec laquelle elle avait pris le souris par la queue, elle a tenu ma main. J’ai retiré brusquement ma main, mais elle ne l’a pas laissé. En me retirant par le bras elle a commencé de nouveau à monter les escaliers. Sa main, juste comme les tiges Indiens qui s’allument automatiquement, se chauffait lentement. Lorsque je montais les escaliers derrière elle, j’ai senti que la chaleur de sa main commença à couler vers ma main et ça avançait vers mes épaules. Quand ma main se chauffa trop, j’ai pensé que mon bras serait anéanti avant même qu’on finisse les escaliers. Par la peur, sinon par tout ce qui se passait, j’avais perdu mon élocation je ne pouvais plus parler. J’étais devenu si insensible que, je n’arrivais pas à comprendre si je respirais ou non. Elle comme si elle ne remarquait rien, en montant les escaliers elle diffusait une chaleur jaunâtre de ses hanches fringantes et avec une voix floue et hystérique, “Dépêche-toi, dépêche-toi” me disait-elle. J’ai compris que mon coeur ne pourrait plus résister à cette agitation. En retirant fermement ma main je me suis sauvé d’elle. D’un mouvement brusque elle s’est retournée et agilement elle s’est de nouveau emparrée de ma main. En retirant ma main fortement, “Il doit y avoir une chambre juste au début des escaliers. Sur le côté gauche. Sa porte est en acajou et ornée. Tu n’a vu nulle part une porte tellement belle. On a apporté son bois de l’Inde. Quand ils sortaient le matin de leurs chambres ils m’attrappaient toujours entraine de contempler cette porte. Je ne savais pas ce qui m’attirait mais j’en avais pas assez de contempler cette porte. Sans doute, j’étais aussi curieuse de ce q’il yavait derrière la porte, ceux qu’ils faisaient là-bàs. Mais je ne pouvais pas rentrer dedans comme je n’y étais pas permis. Apart qu’ils ne me donnaient pas la permission ma mère se mettait en colère lorsqu’elle me voyait de regarder à la porte, en serrant ses dents “encore” me disait-elle, après avoir me claquer au visage, avec une voix qui faisait peur, “Observais tu-dedans?” me demandait-elle. Moi même si j’essayais d’expliquer que je ne m’approchais pas à la porte, que je ne regardais pas dedans avec une voix peureuse et en pleurant ma mère ne me croyait plus, après avoir me claquer deux coups sur ma joue elle descendait les escaliers en se plaignant. En restant sur la dernière marche où tu te tenais tout à l’heure, en se tournant en arrière, elle allongeait son doigt vers moi, “Si je t’attrappe encore une fois je vais te crever les yeux,” me disait-elle. “Mon père descendait avant elle ou bien comme des sultans décidant à la guerre il la suivait en se balançant. “Une fois quand je suis sortie de ma chambre, la porte se trouvait ouverte à demi. En me tenant là j’ai commencé à contempler la porte. Mais la lumière bleuâtre dans la chambre m’a attiré l’attention. Malgré tous mes efforts de ne pas y regarder, j’ai vu mon père qui s’était allongé nu sur le sofa. Lui aussi il m’a vu. “Viens” m’a-t-il dit d’une voix douce. J’ai commencé à pleurer. Cette fois-ci la voix épaisse et grondeuse de mon père, “Je t’ai dit de venir ici” retentit-elle. “Je n’ai pas su quoi faire par peur. Je me suis envahi par un sentiment comme si je n’y allais pas il allait me réduire en miettes*. En pleurant je suis allée à côté de lui. Après avoir couvrir une partie de son corps avec le bord du drap il m’a dit de monter au lit. Quand je suis monté au lit j’avais peur. En me prenant par mes aisselles il m’a fait s’asseoir sur sa poitrine. “Es-tu si curieuse de ce qu’il ya à l’intérieur?” “Sa voix douce et compassionnée était de retour. “Non” dis-je. Pour le convaincre j’ai secoué ma tête fortement à chaque côté. “Alors pourquoi tous les jours tu regardes dedans?” “Moi je n’avais point cru qu’il pensait comme ma mère. J’ai eu peur quand j’ai vu que lui aussi il pensait comme ma mère. J’ai descendu du lit pour pouvoir s’éloigner de là en courant. Mais mon père m’a attrappé par le bras avant que fasse quelques pas. Encore une fois il m’a fait m’asseoir sur sa poitrine. Avec ses grosses mains il a carressé mon dos, mes cheveux. “Ne pleures pas” dit-il. Pour un moment il a carresé ainsi mon dos. “Ne pleures pas, quand tu te grandis toi aussi tu vas avoir un grand lit pareil,” dit-il. “Lui il m’a dit de ne pas pleurer mais moi j’ai commencé à sangloter. En m’entendant de sangloter il m’a jetée par terre comme une pièce de bois. Je me suis tombée sur les genoux. J’ai eu mal. J’ai couru en pleurant jusqu’aux escaliers. Depuis je n’ai ni regardé à la porte de cette chambre ni j’ai esssayé d’y rentrer”. En parlant elle m’avait bien pressé la main. Lorsque j’ai eu mal de nouveau j’ai retiré la main. Rapidement, elle se retourna en arrière et elle m’a claqué fortément au visage par la même main. Puis, elle me poussa en arrière par mes épaules. J’ai perdu ma balance. J’ai descendu jusqu’en bas en dégringolant des escaliers. Elle m’a suivi en courant. En me tenant par la main elle m’a aidé de me mettre debout. En m’embrassant sur le cou elle m’a baisé doucement sur la joue et elle m’a fait asseoir sur la première marche des escaliers. Elle aussi, elle s’est assise près de moi. Quand elle s’est assise le* de sa jupe s’est ouverte. Elle a retiré ma têtre vers lui. Quand ma tête s’est juste alignée avec ses seins “Veux-tu que je te donne le sein” demanda-t-elle. “Non” dis-je. Sans regarder à son visage j’ai mis ma joue entre ses grosses mamelles. En tenant ma main elle a commencé à la glisser sur sa jambe. Ses cuisses étaient chaudes et tremblaient aussi. Avec l’autre main elle pressa ma tête contre sa poitrine. Lorsque’il pressait ma tête contre sa poitrine, elle a repoussé sa tête en arrière. Elle m’a dit de baiser sur son cou tout blanc qui s’exposait dans toute sa beauté. J’ai tendu mes lèvres j’allais juste le baiser qu’elle repoussa ma tête en arrière, en mettant sa main sur mon front. “Ne baise pas, si tu me baise je me chatouille, quand je me chatouille notre rêve s’achevera” dit-elle. Quand mes lèvres tremblaient, mon haleine glissa sur son épaule à demi ouvert. Elle a ouvert encore un bouton sur sa poitrine. “Là-bas” dit-elle. En me penchant je l’ai doucement touché par mes lèvres. Tout d’un coup, ella poussé à côté ma main que je glissais sur sa hanche comme un objet qu’on n’utilise pas. Par sa main elle a comencé à careser sa hanche. De nouveau elle colla l’une de ses mamelles à ma joue. De nouveau elle a pressé ma tête contre sa poitrine. Quand mon haleine coula vers son ventre elle s’est couchée sur le dos. Par ses deux mains elle a tenu ma tête. Elle a collé mes lèvres sur ses lèvres. Son haleine puait. J’ai voulu retirer ma tête mais je n’ai pas pu la sauver de ses mains fortes. Après avoir baisé longuement de mes lèvres elle a laissé ma tête. Elle a mis ses mains sur ses mamelles. Moi je me suis mis debout en hâte, j’ai commencé à courir vers la porte. Elle a tellement éclaté de rire que je suis resté figé là où j’étais. “Viens” dit-elle d’une voix douce. En attendant un peu, d’abord elle a respiré, puis “viens t’asseoir regarde qu’est-ce que je vais te raconter” dit-elle. Je suis allé m’asseoir à côté d’elle. Elle a fermé son bouton qu’elle avait défait tout à l’heure. Elle m’a baisé sur mes lèvres. La mauvaise odeur s’était juste dissipée. En plus que la mauvaise odeur s’était juste dissipée, sa bouche sentait très beau. J’ai mis mes bras autour de son cou. Elle a pris mes mains. Elle a mis mes bras autour de sa taille que j’avais mis autour de son cou. Elle a mis sa tête sur ma poitrine. “Carresse moi un peu les cheveux” dit-elle. Moi quand je carressais ses cheveux, elle s’est endormie. Je n’en savais pas quoi faire. J’ai attendu longuement sans me décider. Quand l’obscurité régnait bien à l’intérieur, j’ai commencé à avoir peur d’elle et aussi d’autres morts. Par cete peur lorsque mon corps se trembla elle se réveilla. “Tu t’es vite réveillée” dis-je. “j’ai le sommeil léger” dit-elle. Elle a pris mes doigts qui glissaient toujours parmi ses cheveux. Elle a pris ma main dans sa paume. Sans me regarder au visage, une ou deux fois elle a respiré profondément . “Icı ça devient obscur. Allons au jardin” dit-elle. Elle allait dire quelque chose. Mais elle n’a pas parlé. Pour un moment elle resta encore silencieuse. Dans l’obscurité je n’en pouvais plus voir son visage, seule je pouvais entendre sa respiration régulière. Elle a pressé ma main dans sa paume. “Sans doute tu as peur de l’obscurité. Moi je m’y suis habituée depuis des ans..” J’étais furieuse contre moi-même. “Alors tout est fini, maintenant elle va partir” je me suis dis. Mais elle n’est pas partie ni elle n’a fait un geste traduisant qu’elle était mécontente. Seule, comme si elle parlait en elle-même: “Ce dernier soir, lorsque mon père est arrivé j’avais compris que ça passerait quelque chose. Son visage était tout rouge. C’était évident qu’il avait trop bu. Chaque soir quand il rentrait il renversait et cassait quelques choses, il haussait le ton, il fermait la télé qu’on regardait, en enlevant sa veste qui enveloppait ses grands épaules pour la mettre au vestiaire il reniflait de son nez rond, il nous regardait au degré de nous faire peur par ses yeux devenus tout rouge de l’insomnie ou d’avoir trop bu. Quand il se comportait comme ça, avec mes frères nous allions monter à nos chambres en courant. Lui il s’allongeait sur le fauteuil et il dormait. Le matin jusqu’à ce qu’il parte nous ne sortions pas de notre chambre. Ce dernier soir là il était rentré très tard. Nous les trois enfants nous nous soucions qu’il ne lui arrive pas quelque chose. Car malgré toute sa cruauté, nous n’avions personne d’autres. Peut-être qu’il yen avait mais comme c’était défendu que nous sortions nous ne le savions pas. Tout notre monde n’était que notre père et cette maison à deux étages. Lorsqu’il est arrivé trop tard ses yeux étaient encore très rouges. Dès qu’il est rentré en enlevant sa veste il l’a suspendu au vestiaire derrière la porte. Quand on a remarqué ses gros biceps, il est devenu encore plus atroce. Lorsqu’il respirait comme si un géant respirait dans la maison. Quand il marchait vers le fauteuil, nous avons tout de suite commencé à monter les escaliers. “Asseyez-vous et regardez la télé” dit-il aux enfants. Les enfants m’ont regardé sans savoir si elle doivent en être content ou non. Moi je les ai fait signe de rester. En pensant qu’au moins mon père allait se comporter bien envers eux je suis montée les escaliers gaiement. Tout de suite je voulais me plonger dans le rêve de ce premier jour où j’avais parlé avec toi en résistant contre tous mes peurs. Juste j’avais mis ma robe de chambre et j’allais m’allonger au lit que, j’ai entendu les pas de mon père qui montait les escaliers. Peut-être ça faisait des années qu’il n’était pas dormi dans son lit. Sinon est-ce que mon père s’était changé vraiement? Ne pouvant pas décidé si je dois m’en jouir ou non, la porte de notre chambre s’est ouverte. Il m’a regardé en s’appuyant contre le châssis de la porte. Il a ri en ouvrant sa grande bouche et il a ri à belles dents. J’ai eu peur de ce que son rire impliquait. J’ai pensé de m’évader et de descendre à côté mes frères. Mais c’était impossible que je me sauve de ses bras forts. Je me suise assise sur mon lit. J’ai commencé à attendre en m’enroulant. Avec sa voix épaisse lorsqu’elle criait à ma mère: “Tu as même beaucoup trop grandi que je ne le pense” dit-il. “Quand sa voix épaisse retentissait dans mes oreilles, j’avais mal à la tête. Il a fermé la porte. Je n’étais pas surprise par ce qu’il avait fermé la porte mais par le fait qu’il l’avait fermé à la clé. En ouvrant mes yeux tout grand par peur j’ai regardé envers lui. “Il s’approchait de moi. D’un mouvement brusque je me suis levée sur le lit de mon plus petit frère et j’ai appuyé mon dos contre le mur. Il m’a attrapé en s’allongeant. Quand il a pressé mes bras par ses bras forts, “Papa” criai-je. “Dès qu’il a entendu mon cri il s’est mis en colère comme tous les jours. Il m’a heurté contre le mur, par rage. J’ai cru que j’ai cassé ma taille. “Vaaay” dis-je d’une voix mélée de cri et de hurlement. Je me suis forcée mais je n’ai pu plus crier. En allongeant l’une de ses mains il a pressé mon sein droit. En pliant mon bras il m’a fait asseoir sur le lit de mon frère. Lui aussi il s’est assis à côté de moi. Quand j’ai bougé pour m’éloigner de lui, il m’a claqué vigoureusement sur ma bouche. J’avais le nez et la bouche engourdis. J’ai failli d’entendre les pas de mes frères. Quand j’ai ouvert la bouche pour les appeler en aide il m’a claqué pour la deuxième fois. Le sang qui coulait de mon nez passait par ma poitrine jusqu’en bas. Par peur et d’une voix lamentable: “Papa” j’ai répété. “En me regardant les yeux:
Read More